Léa Caruana, étiopathe

Léa Caruana, étiopathe

Léa Caruana vient d’ouvrir son cabinet à la Passerelle.
 
 
Habitante du village de Longes, diplômée après six ans d’études à la FAC d’étiopathie de Lyon suivis de stages puis de remplacements (3 mois à Anneyron, 1 an aux Abrets), Léa Caruana, 25 ans, après une recherche minutieuse, a jeté son ancre à Condrieu.
 
 
Elle a ouvert, voici deux mois, son cabinet au pôle d’entreprises « La Passerelle », créé en 2021 par Marine Pelletier et Maxime Jacquemetton.
 
À la première question « Étiopathie mais encore ? « 
elle explique « qu’il s’agit d’une thérapie récente – créée en 1963 par Christian Tredaniel – qui n’a pas encore fait l’objet d’études à grande échelle (en cours) et qui peut intervenir en synergie avec médecine traditionnelle et médecines alternatives ou complémentaires.
Elle a néanmoins fait son chemin : Elle est passée de une à quatre Facs d’étiopathie en France, les étiopathes placés sous l’égide de l’Institut Français d’Étiopathie à Paris. »
 
À la seconde question « quels patients viennent consulter » ?
 
« Souvent les personnes qui ont tout essayé, le dernier recours parfois, le bouche-à-oreille…car, dit-elle,
l’étiopathie est médecine de la cause (du pourquoi) et elle a pour objet d’identifier la structure en souffrance via la manipulation. Il s’agit de traiter la cause durablement… ».
Enfin, Léa Caruana s’inscrit désormais dans le paysage des médecines alternatives installées sur Condrieu – il y eut un temps un pôle « médecines douces » justement à la Passerelle – déclarant « au moment où les médecins sont débordés, l’étiopathe peut prendre une part dans la palette des réponses.« 
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